Après avoir accueilli depuis octobre 2015 des centaines et des centaines de sujets de discussions labohémiennes, notre bon vieux Forum laisse désormais sa place à un tout nouvel espace de discussion pour les labohémien‧ne‧s: le « Dix-cordes ».
Tous les sujets du For-M- restent néanmoins disponibles à la consultation ci-dessous.
Mais comment faire
Comment lui dire
Comment lui faire voir
Ma planète artificielle
Mais comment faire
Comment lui dire
Comment lui faire croire
Que je changerais le bleu du ciel
Je vis
Dans un monde
Virtuel
Je sais bien que
Tu finiras
Par te détendre
Toi qui préfères les pieds sur terre
Mais je n’sais pas si
Tu finiras
Par te détendre
Dans ta tête
C’est la fête des nerfs
Moi qui vis
Dans un monde
Virtuel
Moi qui vis
Dans un monde
Virtuel
Explorateurs, exploratrices
De la troisième dimension
N’ayez pas peur
Si je me glisse
Dans votre imagination
Je vis
Dans un monde
Virtuel
Explorateurs, exploratrices
De la troisième dimension
N’ayez pas peur
Si je me glisse
Dans votre imagination
Votre imagination
Votre imagination
Imagination…
J’entends encore l’onde sensuelle
De ta bouche sur la mienne
C’était si fort, c’était si beau
La philosophie de ton souffle entre mes mots
Les plumes volent encerclées par tes ondes
Mes habits collent, faut qu’j’m’innonde
Mais je n’sais plus où donner du crâne
Ça n’répond plus, j’attends la panne
Comment t’atteindre?
Mais comment t’atteindre Onde sensuelle
Toi qui me donnes des ailes
Pourrais-je te rendre un jour éternelle
Pour nous lier jusqu’au ciel
Tes doubles sens si romantiques
M’ont troublé, Onde magique
Y a-t-il un sens à ta venue
As-tu un nom? moi non plus…
Mais comment t’atteindre?
Mais comment t’atteindre Onde sensuelle
Toi qui me donnes des ailes
Pourrais-je te rendre un jour éternelle
Pour nous lier jusqu’au ciel
Mais comment t’atteindre Onde sensuelle
Toi qui me donnes des ailes
Comment t’atteindre Onde sensuelle
Toi qui me donnes des ailes
A celle qui dure
A celle qui dure
A celle qui dure
A celle qui dure
A celle…
Je promène souvent
Mon cœur en laisse
Sinon c’est en courant
Que mon cœur me délaisse
Alors je joue, habile,
Au beau habillé
Comme ton prince
Je souris à la fatalité
C’est là qu’je pense
A celle qui dure
Quand je saisis la belle
Au bond, à bout
Que j’essuie les gouttes
Sur son front, je bous
Je me dis que c’est peut-être elle
Ma femme, ma demoiselle
Mon cœur s’emballe, comme le fidèle
Moteur de ma diesel
Alors je pense
A celle qui dure
A celle qui dure
A celle qui dure
A celle qui dure
A celle qui dure
A celle…
Celle qui à demi nue
En moins de deux minutes
Montre déjà son cul
Il la traite de… chut!
Alors je pense
A celle qui dure
A celle qui dure
A celle qui dure
A celle qui dure
A celle qui dure
A celle…
Dans les oubliettes
De ma sombre pensée
Comme un antidote
Pour me protéger
Faut oublier
J’oublie les mensonges
Et les actes manqués
Parfois certains songes
Trahissent mes pensées
Faut oublier
Je mitraille en automatic
Dans ma tête ca va très très vite
Mais ma mémoire est sélective
Les souvenirs qui dérengent dérivent
Vers je ne sais où
Dans les oubliettes
De ma triste pensée
J’évite toutes ces guêpes
Qui pourraient bien me tuer
Faut oublier
Je mitraille en automatic
Dans ma tête ça va très, très vite
Mais ma mémoire est sélective
Les souvenirs qui dérangent dérivent
Vers je ne sais où
Vers je ne sais où
Elles sont toutes blondes
Elles sont toutes bonnes
C’est toutes des bombes
En silicone
Hallucinant, dans l’ciné
Y disent qu’j’suis mort
Ma dulcinée
N’est pas d’accord
C’est le premier rôle dans l’scénario
Elle, c’est l’idole, moi le salaud
J’ferais même pas d’mal
A une moche
Mes airs de mâle
C’est pour l’cinoche
Sous ma grande gueule
C’est du bidon
J’signe sur des feuilles
Pour pas un rond
Et pourtant j’roule des mécaniques
C’est fou le nombre de filles à fric
Elles sont toutes bonnes dans c’festival
C’est toutes des bombes du genre pas mal
Pas mal du tout, même
Sauve qui peut ça vaut pas l’coup
D’accord, j’me suis guindé pour pas un clou
Mais j’me dis ni vu ni connu
C’est vrai qu’à Cannes c’est très cucu
C’est vrai qu’à Cannes
J’suis l’roi des cons