M et luis d’une lumière inépuisable, qui consumera ton âme…
A n’est point dans enfer mais dans amour, ne sois jamais aimé…
Tu dis mais Ko l’a écrit : le péril où je suis, personne n’a connu
Tu dis aujourd’hui « aime » mais i hère est secondaire.
Hallucinée c’est mon cœur qui saigne, dans la joie et l’allégresse…
I la couleur de Rimbaud, Lis tu les âmes ? Lis tu les cœurs ? Lis tu les corps ?
Espace, espèce, espoir…assez de zoner, dis moi tes pensées…
Un trou dans ton ciel, où ne brille une étoile ?
Créer le Graal de ton espérance, de ta tempérance, ton inspiration…
Hésites-tu encore à écrire à l’encre rouge, un prêt ? mon sang ?
Eclaboussure que tout ceci, je veux juste que tu entendes,
D’où mes délires me mènent sur le chemin de ton souffle!
I la couleur de Rimbaud , Lis-tu les âmes ? Lis-tu les cœurs, Lis-tu les corps ?
D’où mes délires me prennent sur la route de ta prose.
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