J’ai cru l’entendre chanter
J’ai cru l’entendre murmurer
Des paroles de paix et d’amour
Aussi doux que la naissance du jour
J’ai cru le voir passer
Dans la ruelle près du pommier
Il n’y avait plus rien à dire
Juste se lever et le suivre.
La douceur de sa voix m’apporte la joie
La couleur de son chant me rend vivant
Les notes de sa musique enivrent mon corps
Il est le soleil dans la noirceur des jours présents
Quand il invente une mélodie
C’est au monde entier qu’il la dédie
Ce ne sont pas des paroles en l’air qu’il écrit
Mais des hymnes pour rester dans le cœur.
Et quand la vie te décourage
Ferme les yeux revoit son visage
Pense à sa mélodie ses notes légères
Et bat toi, lance toi, lâche toi…
La douceur de sa voix m’apporte la joie
La couleur de son chant me rend vivant
Les notes de sa musique enivrent mon corps
Il est le soleil dans la noirceur des jours présents
Argaëll