[argaell@argaell]

De Paris à Bamako, y’a comme un écho
Résonnance dans les silences,
Dans nos cœurs bat le même sang
Frères de rythmes et de son

De Paris à Bamako, y’a comme un écho
Dans les lumières de la nuit
Colorées qui habillent nos nuits agitées
Les notes toute la nuit vont couler.

De Paris à Bamako, y’a comme un écho
Les peurs et les sourires sont les mêmes
La ferveur des yeux clos
Le Niger et la Seine se mêlent
Pour ne former qu’un seul flot

De Paris à Bamako, y ‘a comme un écho
Libérer les esprits, caresser des visages
Du bout des yeux partager la scène
Et suivre dans le partage
Toutes les danses du même ADN.

Argaëll

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[Sylvia@sylviaeugenia]

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