A Beyrouth, les larmes face au désastre, la colère face à l’incurie, l’angoisse face à l’avenir.
Mais des ténèbres… https://t.co/M5kmcV2Q8s
A Beyrouth, les larmes face au désastre, la colère face à l'incurie, l'angoisse face à l'avenir.
— Thierry Salomon (@ThierrySalomon) August 9, 2020
Mais des ténèbres se dressent déjà des clartés, et avec elles l'espérance comme l'a si bien chantée la poétesse franco-libanaise Andrée Chedid.#Beyrouth @M_Chedid @louischedid pic.twitter.com/FmSZWOM6ai
A Beyrouth, les larmes face au désastre, la colère face à l’incurie, l’angoisse face à l’avenir.
Mais des ténèbres… https://t.co/M5kmcV2Q8s