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    RENDEZ-VOUS SUR LE
    ‘DIX-CORDES’ LABO -M-

    Après avoir accueilli depuis octobre 2015 des centaines et des centaines de sujets de discussions labohémiennes, notre bon vieux Forum laisse désormais sa place à un tout nouvel espace de discussion pour les labohémien‧ne‧s: le « Dix-cordes ».

    Tous les sujets du For-M- restent néanmoins disponibles à la consultation ci-dessous.

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    Répondre à: Le bonheur by MEZ

    #24566

    MEZ
    @chabbi
    Labohémien
    11 messages

    Il pleut sur PANAME
    Comme il pleut sur mon cœur
    J’ai peur de perdre mon âme
    Entre les plis du bonheur
    Tire les rideaux
    Éteints la lumière
    J’ai à te dire deux mots
    Pour les préliminaires
    Serre-moi encore
    Serre-moi fort
    Je veux dans ma bouche
    Le goût de la mort
    Je veux dans ma couche
    Le monde en bouteille
    Je veux sentir ton cri
    Surfer sur la mer
    Je veux frémir au soleil
    Qui coule ta sève
    Je veux l’agonie
    Qui donne à mes rêves
    La nuit entière.
    Je crèverais p’ être de toi
    A force de t’ faire jouir
    Putain d ‘coquin d’ sort
    Et Qu’importe de mourir
    Sur la scène de ton corps
    Toi tu es la loi
    Te parler d’amour
    Me déchire m’envole
    Et croire toujours
    Que la vie rigole
    Toi tu es mon monde
    Mon signe mon tout
    Ma muse féconde
    Et le fond du trou
    Je ne sais pas te calculer
    Ni même te mentir
    Ton amour est une idée
    Qui me saigne qui me chavire
    Ton amour est un baiser
    Sur le cul de l’éternité
    Ma mort annoncée
    Qui ne veut pas se terminer
    J’aime les alcôves
    Et la beauté des femmes
    L’amour qui sauve
    Brille de ta flamme
    L’amour qui sauve
    Il joue tes gammes
    Sur la portée du temps
    Et la virée du vent
    Je ne suis pas fini
    Puisque tu existes
    Ma douce ma mie
    Sans toi tout est triste
    Je suis petit de ta beauté
    Toi toute chose.
    Je suis ivre de toi, de lui
    De nous, de toute créature,
    Des astres, de la substance
    De l’éther et de l’espace infini
    Et même de ton absence