Les 4 Chedid dialoguent avec l’absence et le silence (dans l’Amour éternel de Sélim, chanté par Louis, dans Les absents ont toujours tort, de et par Louis, dans l’émouvant Délivre de Matthieu, interprété à 4 voix), crient leur amour de l’amour (au travers du Coeur de Pierre de Nach, de l’inénarrable Je dis aime de Matthieu, du très juste On ne dit jamais assez aux gens qu’on aime qu’on les aime de Louis), convoquent l’absurde et l’insouciance (Ver de Terre de Louis, Paranoïa de Selim, Machistador de Matthieu), interrogent le monde, le passé et l’avenir (Mama Sam de Matthieu, T’as beau pas être beau de Louis, Ode aux envies de Selim, Ce qu’ils deviennent de Nach), etc.
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